La pêche à la nymphe est la dernière technique qui aura révolutionnée le monde de la pêche à la mouche dans le sens ou les observations de certains hommes ont fait d’avoir l’idée de pêcher sous l’eau, à cette époque celle G. M. Skues inventeur de la première

nymphe émergente, les populations ne connaissaient absolument rien de la vie des insectes et de leurs différents stades d’évolution. Au début du XX siècle, rare était le paysan qui pouvait faire le lien entre l’insecte de potager et sa chenille… Alors faire le lien entre un insecte et sa larve aquatique, encore moins!

Pour la petite histoire, la première pêche à la mouche fut la pêche à la mouche noyéepuis la pêche à la mouche sèche.

Sur cette page je ferais un double hommage à Franck Sawyer qui fut le 

précurseur de la NAV (Nymphe à vue) et de la NAF (nymphe au fil) premièrement et secondement parce que ce  gentleman à su faire partie des « grands noms » de la pêche à la mouche de l’époque ou elle était réservée à la noblesse, aux roturiers et aux propriétaires terriens.

Alors que cette pêche à été interdite sur certains parcours d’outre Manche, elle est devenue le nec-plus-ultra de tous les pêcheurs français.

Je propose mes stages de pêche à la mouche sur les rivières d’eau rapide en Saône Vosgiennes ou encore sur les rivières calcaires de plaine champenoise, Meusienne.

Comme déjà abordé sur les onglets de pêche à la mouche, l’intérêt de faire appelle à un professionnel, pour l’apprentissage ou le perfectionnement de cette technique de pêche, le contrôle de sa soie aussi bien dans les airs que sur l’eau (« mending » repositionnement  de la soie afin d’éviter son dragage par le courant), gagner de la distance,  le « posé mouche première », « posé courbe », le roulé utilisé lorsque les berges sont fortement encombrées à l’arrière du pêcheur, poser sa mouche sous une frondaison et bien d’autres nombreuses combines pratiques…